Présente aux universités d’été insoumises, Julia Torlet, présidente de « SOS homophobie », lesbienne et prof de lettres classiques, a expliqué comment « tricher » pour faire de la propagande LGBT en classe malgré le devoir de neutralité des professeurs : « On est très très fort pour tricher, donc on triche. »
Elle admet que « (nos) identités sont politiques, évidemment », mais que « quand on nous dit ça dans la loi, c’est la politique politicienne, bah on est prof, c’est pas nous. Voilà. Donc ça nous arrange ». Elle a donné cet exemple : « Moi, j’ai jamais dit à mes élèves que j’étais lesbienne. (…) J’ai des lacets arc-en-ciel. (…) Je vais en classe comme ça (bis). Donc les élèves, c’est écrit sur moi. Voilà. Et c’est comme ça qu’on triche. Et c’est comme ça qu’on impose les identités LGBTI dans la société. »
Elle a ajouté vouloir « aller plus loin » sur le programme EVARS, qu’elle a qualifié de « mauvais ».
Tout cela sous les applaudissements de la députée LFI Ségolène Amiot.