Deux études récemment parues dans ce pays d’Amérique latine l’affirment ; le virus Zika n’y serait pour rien. De fait, Zika sévit partout mais la microcéphalie n’a été multipliée qu’au Brésil, et sur 400 enfants microcéphales étudiés seuls 17 avaient été touchés par le virus…
Selon ces études, l’eau potable des régions affectées serait en cause : depuis 2014, avec la bénédiction de l’OMS, les autorités y injectent du pyriproxyfène, un insecticide visant le moustique-tigre responsable de la tranmission de la dengue, maladie autrement plus grave que le Zika. C’est un inhibiteur de croissance qui provoque des malformations chez les larves de moustiques.