La Chine va exiger que les ordinateurs et autres appareils et logiciels liés aux technologies de l’information soient vérifiés afin qu’on n’y trouve plus ce que l’on appelle les backdoors, ces dispositifs qui ouvrent à ceux qui les ont commandités une porte secrète et leur permettent d’espionner le système ou même de le diriger. Dans le collimateur notamment Windows et Google, soupçonnés d’offrir des backdoors à la NSA·