C’est l’augmentation des crimes et délits commis contre des Blancs aux Etats-Unis depuis 2018, selon les statistiques fournies par le FBI. On constate aussi une surcriminalité des Noirs, qui forment 13 % de la population et commettent 20 % de ce que les anglo-axons nomment « crime de haine », alors que les « Blancs » et les « Hispaniques », qui composent 75 % de la population, n’en commettent que 51 %. C’est la preuve que l’agitation leucophobe menée par les radicaux américains depuis cinquante ans débouche sur un racisme antiblanc actif. En 1967, la féministe Susan Sontag lançait son cri : « la race blanche est le cancer de l’humanité », et il a été repris vingt fois sous diverses formes par des « sociologues » et « spécialistes des sciences de l’éducation » divers, tous militants du politiquement correct. Diane Ravitch a ainsi écrit que les « hommes blancs étaient seuls responsables du sectarisme et de l’exploitation dans toute l’histoire de l’humanité ». Aujourd’hui, qui n’a entendu parler du « privilège blanc », du « suprémacisme blanc », etc. dont il convient de se repentir ad vitam aeternam ? Surfant sur tout cela, le mouvement révolutionnaire Black Live Matters fait régner un climat de guerre raciale qui aurait favorisé, selon les analystes du FBI, la montée des crimes anti-blancs. Une montée que les chiffres relevés ne reflètent pas tout-à-fait. Selon la hiérarchie policière, la crainte de parler de la question fait que les « crimes de haine » contre les Blancs sont sous-estimés. Les médias n’y sont pas étrangers : il est plus difficile de les intéresser avec un meurtre dont la victime est blanche. Un exemple : tout le monde dit et croit que des délinquants comme Michael Brown ou George Floyd sont morts parce qu’ils étaient noirs, mais, dans le cas du meurtre en 2020 du petit Cannon Hinnant, Blanc de 5 ans, par un Noir de 25, Darisu Sessoms, ni la police, ni la justice ne se sont risquées à dire le motif du crime, et la presse n’en a plus jamais parlé. Visiblement, la notion de « racisme » et celle de « crime de haine » sont des armes politiques qui ne marchent que dans un sens.