Le pape François a rappelé la dure réalité : il y a plus de persécutions de Chrétiens aujourd’hui qu’il y en avait il y a 1700 ans.
L’occasion de s’attaquer également à la « fausse tolérance » qui fait baisser le niveau d’éthique et « finit par la persécution de ceux qui défendent la vérité pour l’humanité et ses conséquences éthiques ».
Il s’est empressé de défendre la liberté religieuse, nécessaire pour l’accomplissement de l’homme libre. Mais dans la même phrase, il affirmait que le but suprême de l’homme est de « chercher la vérité et d’y adhérer », ce qui est la négation d’une certaine définition de la liberté religieuse.
Une fois qu’on est jésuite, on l’est pour l’éternité. La difficulté, avec un pape jésuite, est de savoir où il veut en venir.