C’est le constat d’une étude américaine qui a vérifié une augmentation de ces prescriptions en fin d’après-midi, à l’heure où les généralistes, épuisés par leurs consultations, ont la détente plus facile. Et moins de temps pour expliquer aux patients qui insistent que l’antibiotique ne sert à rien pour juguler une affection ORL virale. La réponse pourrait être de prescrire des siestes, ou un peu de grignotage – mais aux médecins.