Moscou envisage en effet de bannir toutes les ONG qui promeuvent la « démocratie » et que les autorités russes accusent de « soft agression ».
La crise ukrainienne n’est sans doute pas étrangère à cette décision, puisque l’on sait que les Etats-Unis et l’Europe avaient apporté un soutien politique et médiatique massif aux opposants au pouvoir russe tandis que certains financiers avaient distribué des fonds.
Le ministère ukrainien de la justice était par exemple occupé par Spilna Sprava, financé par l’International Renaissance Foundation, une organisation qui fait partie du réseau de l’Open Society Institute de… George Soros.