La Néo-Zélandaise Eliza McCartney fait partie depuis dix ans du top 10 des meilleures perchistes du monde et elle a décroché une médaille de bronze à Rio en 2016, mais elle est aussi connue pour sa ferveur écologiste et son ardeur à sauver le climat. Elle déplore son « empreinte carbone importante » que causent ses déplacements d’athlète, et, depuis les JO de Paris, elle s’est lancée dans une nouvelle théorie. Selon elle, la poignée de sa perche a changé en raison de l’augmentation de l’humidité mondiale : « Lors des Jeux de Paris, des climatiseurs ont dû être installés dans le village olympique pour faire face à la chaleur extrême. (…) J’utilise une poignée collante noire sur la perche, et celle-ci se décompose au fur et à mesure qu’il y a plus d’humidité… donc j’ai plus de sueur sur les mains. Je suis donc également exposée à un risque pour ma sécurité en raison de l’humidité et de la chaleur extrêmes. » C’est sûrement pour ça qu’elle n’est arrivée que sixième du concours. Simple mauvaise foi ou folie douce ?