Effet boomerang : la « fraude » des idéologues qui poursuivent les négateurs du réchauffement climatique

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Pas de chance pour les idéologues alarmistes du réchauffement climatique, les procédures judiciaires qu’ils envisagent contre les sceptiques pour les priver de parole pourraient bien avoir un effet boomerang susceptible de leur donner des sueurs… froides. Rendus nerveux par le nombre croissant d’études remettant en cause leurs prédictions apocalyptiques, ils ont en effet pris l’habitude, via des procureurs partisans, de faire la chasse à tous ceux qui remettent en cause leur théorie. Le problème, c’est que la vérité ne se décrète pas par décision de justice, et que des procureurs plus réalistes leur ont fait remarquer qu’à partir du moment où ils attaquaient des gens pour avoir « minimisé » le réchauffement, on devait pouvoir les poursuivre pour « fraude », pour l’avoir exagéré. Voilà ce qu’ont expliqué en substance des procureurs Républicains à leurs confrères Démocrates et aux « réchauffistes » procéduriers.
 

Les idéologues du réchauffement climatique mentent mais poursuivent les sceptiques

 
De fait, les preuves de fraudes commises par les théoriciens subventionnés du réchauffement climatique s’amoncellent. Les révoltants courriels du scandale du « ClimateGate » démontrent que ces idéologues n’hésitent pas à s’entendre pour « occulter le déclin » des températures et violer les lois sur la liberté d’information.
 
Il y a quelques décennies à peine, la plupart des extrémistes du réchauffement d’aujourd’hui, y compris le « tsar scientifique » d’Obama et promoteur de l’avortement John Holdren, prédisaient un refroidissement provoqué par l’homme, qui allait tuer un milliard d’humains. Sans rire. Des prédictions plus récentes se sont montrées tout aussi fantaisistes. Al Gore, vice-président de Bill Clinton en son temps, a fait fortune en annonçant dans des conférences grassement rétribuées qu’à cause du CO2, la banquise aurait complètement fondu avant 2015. Or, elle est toujours là et, mieux encore, on constate une augmentation sensible de la glace ces dernières années.
 
Consternants sont aussi les modèles informatiques orientés pour les conformer à l’idéologie du GIEC : satellites et ballons sondes les contredisent depuis quasiment une décennie, indiquant qu’il n’y a pas de réchauffement climatique.
 

Effet boomerang : la « fraude » des réchauffistes qui ont exagéré

 
Les Républicains ont aussi fait remarquer que les poursuites en justice pour opinion contraire menacent tout simplement la liberté d’expression protégée par le Premier amendement de la Constitution américaine. Des sondages récents sérieux, comme celui de Pew, indiquent d’ailleurs que 40 % à peine des Américains croient en un réchauffement causé par l’activité humaine.
 
Les liens possibles entre d’importants intérêts financiers et l’idéologie du réchauffement climatique paraissent par ailleurs évidents. Si ses adeptes sont prompts à accuser une compagnie comme Exxon de minimiser le réchauffement et de financer ceux qui le nient pour mieux vendre son pétrole, alors ne peut-on imaginer que des personnes ou ONG alarmistes ne soient quant à elles financées par des sociétés « vertes » ?… Les mises en cause de la société « verte » Solyndra qui appartient aux amis d’Obama et qui a soutiré 500 millions de dollars aux contribuables mériteraient d’être clarifiées…
 
Quoiqu’il en soit, pour les idéologues du changement climatique, il semble que le vent soit en train de tourner.
 

Patrick Neuville