Le chiffre : entre 34 et 69 fois plus

risques attaques cardiaques policier
 
Ce sont les chiffres des risques d’attaques cardiaques mortelles d’un policier qui intervient lors d’une altercation ou lors d’une interpellation de suspects, par rapport au moment pendant lequel il mène une activité « normale ».
 
Les risques sont 32 à 51 fois plus grands en cas de poursuites, 20 à 23 fois plus en cas d’entraînement physique et 6 à 9 fois plus élevés en cas d’opération de secours.
 
Un travail à risques donc, lorsqu’il n’est pas détourné de son but premier.