L’Agence américaine pour l’étude de l’océan et de l’atmosphère (NOAA) a observé une chute de 0,4 degré centigrade depuis dix ans sur l’ensemble du territoire des Etats Unis.
Cette mesure, précise, vient infirmer les prévisions alarmistes du GIEC sur un prétendu réchauffement global.
Pourquoi ? Pour deux raisons.
Parce qu’elle a été prise aux Etats-Unis, pays où les instruments de mesure sont fiables et les personnels sérieux.
Et parce que les stations de mesure sont réparties sur le territoire de façon qu’elles donnent une image authentique de la réalité.
Il y a une dizaine d’années, l’agence avait essuyé des critiques sur les emplacements choisis, trop proches des îlots urbains de chaleur. Elle a rectifié le tir et ses stations sont désormais reconnues par tous les climatologues.
La baisse de 0,4 degrés Celsius observée depuis 2005 aux Etats-Unis est donc une donnée avec laquelle devront compter tous les scientifiques concernés.