Mirai – cela veut dire « futur » en japonais – sera disponible dès décembre, mais à un prix exorbitant de 50.000 euros. La contrepartie, c’est un carburant propre, inépuisable, facile à stocker et à transporter et donc (théoriquement) peu cher : sa pile à combustible fonctionne selon le principe de l’électrolyse inversée qui génère l’électricité en faisant passer dans un circuit des électrons extraits d’atomes hydrogène. Après usage, le véhicule rejette… de l’eau.