Un scientifique américain a expliqué qu’il était bien plus facile de ressusciter la variole qu’on ne l’imagine. Définitivement vaincue en 1975 la maladie ne contamine plus personne mais un « exemplaire » du virus est gardé aux Etats-Unis et en Russie. Le débat est aujourd’hui de savoir s’il faut détruire ou non ces exemplaires conservés en laboratoire ou les garder pour la science.
Peu importe précise ce scientifique puisque les séquences du génome du virus sont disponibles sur internet et qu’il serait donc possible à des labos supérieurement équipés et financés de le ressusciter… Mais dans quelques temps, précise-t-il, les laboratoires plus modestes en seront également capables…