L’Office de secours et de travaux de l’ONU (UNRWA) pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient est une nouvelle fois sous les feux de la rampe, depuis que des agents ont fait ouvertement la promotion du terrorisme, de l’idéologie nazie d’Adolf Hitler, du djihadisme et de la haine envers les Juifs sur internet. Un rapport de cent trente pages réalisé par le groupe de surveillance UN Watch fait état de ces accusations d’incitation au terrorisme qui ont été transmises aux législateurs américains. Des douzaines d’agents et d’employés des Nations unies sont impliqués ; certains travaillent sont en contact avec des enfants.
Des enfants poussés au terrorisme par des agents des Nations Unies
« Intoxication des enfants palestiniens : un rapport sur l’incitation des enseignants de l’UNRWA au terrorisme djihadiste et à l’antisémitisme » : le rapport de l’UN Watch détaille pas moins de quarante exemples d’incitation à la haine et au terrorisme, en particulier sur des pages Facebook. On y voit des agents des Nations unies glorifier l’enlèvement d’enfants juifs ou les tirs de roquettes sur les civils israéliens, faire l’éloge du Hamas et du nazisme au cri de « Allah bénit Hilter ». Le rapport souligne que l’UNRWA viole son devoir de neutralité et de rejet de toute forme de racisme, en soutenant ouvertement le Hamas… d’autant que le texte mis en cause n’a été retirée qu’à la publication du rapport.
L’UN Watch a alerté les plus hautes autorités des Nations unies et des Etats-Unis : « Nous n’acceptons aucune tolérance des Nations unies face au terrorisme et à l’antisémitisme », a clamé Hillel Neuer, le chef de l’UN Watch à Genève, réclamant la mise à pied immédiate des employés impliqués dans le scandale.
Des agents de l’ONU incriminés dans plusieurs pays du Proche-Orient
L’organisation incriminée, l’UNRWA, est financée par millions par les impôts américains (un tiers de son budget), et par les taxes de l’Union européenne, du Royaume-Uni et du Canada ; elle agit au Liban, en Jordanie, en Syrie et dans la bande de Gaza. L’UNRWA n’en est pas à son coup d’essai. L’année dernière déjà, un film du Center for Near East Policy Research dénonçait le rôle des écoles des Nations unies dans le lavage de cerveaux des enfants arabes, dont certains sont devenus des terroristes. Ces écoles sont en fait de véritables camps d’entraînement militaires. L’UN Watch allait dans le même sens dans un rapport de 2015, relevant déjà trente cas d’incitation au terrorisme par des employés.
L’UNRWA, un camp d’entraînement et d’incitation au terrorisme
Le porte-parole de l’UNRWA, Chris Gunness, interviewé dans Times of Israel, a affirmé que l’agence des Nations unies était consciente de ces accusations et que des examens étaient en cours ; il s’est aussi défendu en affirmant que les agissements de quelques-uns ne devaient pas remettre en cause le professionnalisme et l’honnêteté des 30.000 employés de l’agence. Mais pour certains, trop de scandales éclaboussent l’UNRWA : il n’y a pas d’autre solution que de le démanteler, car il est tout simplement un camp d’entraînement terroriste.
En fait, c’est tout le système des Nations unies qui est remis en cause. En effet, le Conseil des droits de l’homme l’ONU, toujours prêt à faire la morale, décernant des diplômes de dictateurs, diabolisant sans cesse Israël, contient en son sein même des Etats-membres responsables de crimes de masse, et un certain nombre de Casques bleus sont impliqués dans des affaires de viols de mineurs. C’est pourquoi, au sein-même des néo-conservateurs mondialistes, Trump a trouvé des soutiens en raison de sa volonté de réduire l’aide financière aux Nations unies. De même, un groupe de législateurs propose The American Sovereignty Restoration Act, un projet de loi qui ferait sortir définitivement les Etats-Unis de l’ONU.