C’est le titre alarmiste d’un article de la presse belge…
On avait l’habitude de pointer ainsi la dette des États qui vivent à crédit plusieurs mois avant le 31 décembre. La dette écologique est devenue à la mode grâce à l’ONG « Global Footprint Network » qui cible, chaque année, le jour précis où l’humanité aura consommé la totalité des ressources que la planète peut renouveler en un an.
En 2017, ce sera le 2 août, six jours plus tôt que l’année dernière, car la date « avance inexorablement depuis les années 1970 »… (dans leur logique, dans soixante ans, la planète sera vide).
Dans ses calculs, l’ONG affirme tenir compte de l’empreinte carbone, des ressources consommées pour la pêche, l’élevage, les cultures, la construction et l’utilisation d’eau. En revanche, elle ne parle pas de l’idéologie et du volontarisme nécessaires à cette campagne de peur dont l’objectif est tout sauf véritablement écologique….