Le monde entier a été surpris quand Joe Biden a autorisé l’Ukraine à utiliser des missiles de portée intermédiaire contre la Russie à Koursk : pour Kiev, il s’agit d’une décision trop tardive qui ne peut changer le cours de la guerre, et pour Moscou, qui se trouve sous le feu ukrainien, c’est une escalade grave qui permet d’agiter à nouveau la menace nucléaire. Mais cette décision est en réalité à usage intérieur, c’est plus qu’une pierre dans le jardin du président élu, c’est une véritable mine à retardement anti-Trump visant à saboter le futur gouvernement des Etats-Unis. Et ce n’est pas la seule que le président démocrate en fin de course sème avant de disparaître.
Les Démocrates sèment des mines financières anti-Trump
Les autres sont financières. Ainsi une source américaine haut placée vient-elle de révéler sous condition d’anonymat que Joe Biden avait décidé de porter l’aide des Etats-Unis aux pays les plus pauvres à 4 milliards de dollars, par l’intermédiaire de l’association internationale pour le développement financée par la Banque Mondiale, soit un demi-milliard de plus que le précédent record datant de 2021. La décision a été prise au sommet du G20 à Rio. Cette dépense supplémentaire survient au moment précis où le ministre désigné des Economies budgétaires, Elon Musk, vient d’annoncer sa volonté de couper 2.000 milliards de dollars dans les dépenses de l’Etat fédéral. C’est plus qu’un pied de nez, c’est un sabotage délibéré.
Joe Biden saborde le bateau avant de disparaître
Joe Biden a tenu à donner à la chose un maximum de publicité, puisque, un peu plus tôt, un assistant national à la sécurité, Jonathan Finer avait pris les journalistes à part pour leur apprendre que Biden allait annoncer une aide « historique ». En prime, Biden va lancer un accord bilatéral pour « l’énergie propre » avec le Brésil du président gauchiste Lula, au moment précis où Trump a annoncé vouloir en finir avec « l’imposture de l’hystérie du changement climatique ». Les provocations sont manifestes et vont probablement s’accumuler comme autant de mines visant à ralentir ou empêcher les réformes que le président élu entend mener, qui font obstacle aux objectifs de l’Etat profond dont Joe Biden est le mandataire. Celui-ci a aussi promis 50 millions à l’Amazon Fund qui s’occupe de la forêt pluviale. En ajoutant que « personne ne pourra revenir » sur l’héritage « vert » des Démocrates. Mais le semeur de mines anti-Trump pourrait être déçu : ceux qui s’occupent des débours de l’Etat Fédéral estiment en effet que tout cet argent ne pourra pas sortir des caisses avant la fin de l’année.