Allemagne : les femmes étrangères plus violentes que les hommes autochtones

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Ce n’est un secret pour personne qu’historiquement, la majorité des délits et crimes violents sont commis par des hommes, de même que la majorité des combattants tués dans les guerres sont aussi des hommes. Mais de récentes études menées sur la criminalité en Allemagne montrent deux faits. L’un n’étonnera personne et a déjà été établi ailleurs : les statistiques font état d’une plus forte violence au sein de la population immigrée. Le deuxième est plus surprenant : les femmes nées à l’étranger sont plus violentes que les hommes allemands. Notamment celles qui proviennent de certains pays musulmans. De quoi nécessiter une étude plus approfondie : quel est le principal facteur de cette violence ? Est-ce le déracinement ? L’ethnie ? Les us et mœurs du pays d’émigration ? La religion ?

 

En Allemagne, la violence est plus forte chez les étrangers

Les données de base sont sans mystère. 272 Allemands sur 100.000 ont été impliqués dans une infraction violente en 2024. Par comparaison les Turcs étaient 904, plus de trois fois plus. Les Serbes 1.246, les Bulgares 1.353, les Afghans 2.409, les Irakiens 2.479, les Syriens 2.608, et les Marocains 3.388 – douze fois plus violents que les nationaux d’Allemagne. Le taux relativement bas des Turcs est probablement dû à la longue pratique qu’ils ont de l’Allemagne, à une forme « d’intégration ». Le taux moyen des Bulgares, et surtout des Serbes, montre que la religion musulmane, majoritaire chez les étrangers violents, n’est pas la cause de leurs violences, du moins pas la seule. Le record de criminalité violente chez les Marocains montre que ce n’est pas la guerre dans les pays d’émigration qui cause la violence en Allemagne. Dans une société où la moindre gifle à un enfant devient insupportable, les populations venues d’ailleurs, pour qui une raclée ne fait pas de mal, auraient-elles tendance à donner libre cours à leur violence, y compris, on l’a vu à Cologne en 2016, en matière sexuelle ?

 

La gauche allemande admet le lien sans condamner l’immigration

Chez les originaires de certains pays, l’utilisation du couteau dans les rixes est d’usage courant. Et la sur-criminalité est un fait documenté depuis longtemps, au point que le ministre de l’Intérieur, Mme Nancy Fräser, pourtant de gauche, a dû lors d’une récente conférence de presse avouer : « Cette année, nous devons parler des suspects non-Allemands », en constatant une augmentation générale des violences corporelles, attaques au couteau, etc., avec un pic de plus 9,3 % pour les viols et violences sexuelles. Concernant les suspects pour l’ensemble des crimes et délits « plus d’un tiers n’ont pas la nationalité allemande », a-t-elle concédé. En fait, 39 % globalement, 40 % pour les violences sexuelles et 49 % pour les vols, comme l’admet aussi le sénateur de gauche Ulrich Maurer, de Brême, pour qui « les trois quarts sont des Maghrébins ». Cela ne le mène pas à remettre en cause l’immigration, mais seulement le choix de jeunes hommes : « Si nous avions accueilli des femmes et des enfants, nous n’aurions pas ces problèmes. »

 

Les femmes étrangères sont plus souvent violentes que les hommes allemands

C’est au mieux une illusion, plus probablement une grave erreur, les statistiques suivantes le montrent : les femmes issues de l’immigration sont elles-mêmes très violentes et facteur de violence. Chez les Allemandes, les suspectes d’infractions violentes sont 60 sur 10.000. Chez les Syriennes 336, les Bulgares 359, les Serbes 371, les Irakiennes 391. En somme une réalité analogue à celle des hommes issus de l’immigration, avec des variantes. Mais ce qui frappe, c’est que toutes ces femmes nées à l’étranger ont un taux d’infraction violentes nettement supérieur à celui des hommes allemands (pour rappel : 272/100.00). Cela veut dire que la sur-violence ne vient pas du patriarcat, et que les mâles ne sont pas toujours plus violents que les femmes : le facteur de l’origine étrangère emporte ici sur le facteur sexuel. La politique d’immigration massive et anarchique que l’Europe a mise en œuvre sur son sol contribue fortement à son ensauvagement.

 

Pauline Mille