La « Défenseure des droits » a publié le 16 juin, « à l’occasion du mois des fiertés », une décision-cadre « consacrée au respect de l’identité de genre des personnes transgenres ». Plusieurs recommandations sont données, relatives notamment aux mineurs transgenres, évidemment sans la moindre mise en garde quant aux risques des « thérapies » de transition.
Olivia Sarton, directrice juridique de l’association Juristes pour l’enfance, dénonce dans un entretien au Figaro « la disqualification systématique du sexe biologique au profit du seul ressenti de genre ». Elle ajoute : « Le Défenseur des droits semble ignorer les controverses scientifiques et médicales en cours. Sa position paraît aujourd’hui dépassée, voire isolée, quand on voit que des pays comme la Grande-Bretagne, la Suède, la Norvège, la Finlande ont profondément revu leur approche. »
Alors que de nombreux pays se rendent compte des effets désastreux de la théorie du genre, surtout sur des mineurs fragiles et en pleine construction, la France est loin d’avoir pris la mesure du problème.