Des chercheurs de l’Université américaine de Vermont viennent d’étudier plusieurs langues pour savoir si les hommes avaient tendance à utiliser plus de mots positifs que négatifs ou inversement.
Après avoir rassemblé des milliards de mots piochés dans les sous-titres de films, les tweets, la littérature, les sites internet, les chansons ou les journaux en anglais, arabe, chinois, coréen, russe et de nombreuses autres langues, ils ont finalement trouvé que ces langages, et probablement tous, favorisaient les mots positifs.