Une nouvelle étude menée par le professeur Dan Kahan de l’Université de Yale montre que les climatosceptiques, qui remettent donc en doute l’existence d’une responsabilité humaine dans un quelconque « réchauffement global », en savent plus sur la climatologie que les alarmistes…
Voilà qui ne manque pas d’ironie : les tenants d’un « réchauffement global » aiment à traiter les sceptiques d’« ignorants » et d’« anti-science »…
Sur 9 questions posées sur le climat à 2.000 participants, les sceptiques ont donné en moyenne 4,5 bonnes réponses quand les alarmistes n’en ont donné que 4…