Un étudiant en master de technologie de l’université de Copenhague met en garde contre les risques d’espionnage que les montres connectées peuvent présenter. En effet, si un pirate informatique dispose d’un accès aux données gyroscopiques et accélérométriques d’une montre dite intelligente, il lui serait tout à fait possible de décoder tout code d’accès tapé sur un clavier. Dans la mesure où ces objets sont portés suffisamment longtemps dans la journée, l’interprétation quasi exacte des mouvements de la main est possible. Seule parade : porter la montre à l’autre poignet.