Le sommet de l’ONU sur les réfugiés, qui s’est tenu la semaine dernière à New York, annonce de nouvelles transformations du monde par le biais de la migration de masse, sous l’impulsion de Barack Obama qui ne quittera pas la Maison-Blanche sans avoir multiplié les initiatives globalistes désastreuses. Même pour ceux d’une certaine droite qui, il y a huit ans, voyaient dans l’accession au pouvoir de Obama l’annonce d’une rupture bienvenue avec la politique sioniste américaine, il devient de plus en plus difficile de se réjouir du bilan de cet homme qui, certes, n’a pas joué la carte israélienne comme en témoigne l’accord nucléaire avec l’Iran, mais qui a plus que quiconque fait avancer la cause du mondialisme.
Pourtant, à la veille même du sommet sur les réfugiés, assorti d’un forum avec le secteur privé qui dans sa variante multinationale est très favorable à la migration de masse, les États-Unis subissaient plusieurs attaques perpétrées par des islamistes présumés, et en tout cas immigrés. Elles sont l’image d’un avenir qui ne peut que devenir plus sanglant et plus dangereux à mesure que les frontières sont plus largement ouvertes.
Barack Obama et l’ONU ignorent le terrorisme quand il s’agit de promouvoir les migrations
Parmi les suspects : Ahmad Kjan Rahami, immigré afghan de 28 ans, dont la famille a cherché « asile » aux Etats-Unis. C’est lui qu’on accuse d’avoir posé des bombes à New York et dans le New Jersey. Bilan : au moins 29 blessés. Le FBI avaient refusé de surveiller le jeune homme radicalisé alors même qu’il avait reçu un signalement de la part du propre père de Rahami. Un autre « réfugié », le Somalien Dahir Adan, avait poignardé 10 personnes dans un centre commercial du Minnesota le 17 septembre, avant d’être abattu par un chaland, un policier en repos. Après le sommet, 23 septembre, c’est un immigré turc qui a tiré sur quatre femmes et un homme dans un grand magasin près de Seattle. Il est aujourd’hui poursuivi pour cinq assassinats.
Ce genre d’attaque terroriste ponctuelle se multiplie depuis le 9 septembre 2001. Et pas seulement aux États-Unis : le multiculturalisme des pays d’Occident s’accompagne trop souvent de ces sanglants attentats, facilités par le « politiquement correct » à l’égard des migrants.
Le plan pour accueillir toujours plus de migrants annonce de nouveaux conflits
Barack Obama, lors de son discours devant l’assemblée générale des Nations unies, septembre dernier, préconisait l’abandon d’une partie de la souveraineté nationale américaine afin de parvenir à « l’intégration globale », et ce au nom de la « sécurité ». Le contrôle international des frontières assurerait-il par une sorte de miracle l’arrêt du passage de migrants aux intentions terroristes ? C’est l’idée qu’on vendait en Europe en 2015 au moment du tsunami migratoire. On ne peut pas dire que la sécurité se soit améliorée.
Les Américains sont quant à eux soumis à cette politique depuis l’ère Bush, puisque le Républicain avait à peu près la même vision de la migration que Barack Obama aujourd’hui et demain, si elle arrive au pouvoir, Hillary Clinton.