Au sommaire :
- Saint Valentin, patron du sexuellement correct
- Intermittents du spectacle, permanents de la subversion
- Culture de mort : la franc maçonnerie belge en pointe
- Enseignement de l’arabe : Peillon provoque
- Les fonctionnaires mesure de la paupérisation
Saint Valentin, patron du sexuellement correct
Amritsar, dans le nord-ouest de l’Inde, manifeste contre la Saint Valentin. Les traditionalistes hindous y voient plus qu’une niaiserie sentimentale américaine à la sauce commerciale, ils dénoncent le sexuellement correct qui s’attaque à leur civilisation traditionnelle.
La vidéo qui montre les traditionalistes du mouvement Shiv Sena est un modèle du genre : on entend des cris dans une langue qu’on ne comprend pas, il n’y a que des hommes, ce qui suggère le machisme, on les voit brûler des images, cela rappelle l’Inquisition, les pires moments de l’histoire, ils gesticulent, ils ont l’air extrémistes, brutaux, bref, ce sont des énergumènes en retard sur leur époque, limite dangereux.
Un mouvement qui prend de l’ampleur
Ce qui n’est pas dit, c’est que des manifestations analogues ont eu lieu en pays musulmans, au Pakistan, en Ouzbékistan et au Kirghizistan, et chrétien, au Belarus. Il existe dans le monde des sociétés qui refusent la normalisation occidentale, la sexualisation de la société avec ses manifestations à date fixe sous couleur de tendresse, l’amour à la Pénet, l’infini à la portée des caniches. Ils n’ont pas bonne presse, ils sont braillards et portent de grosses moustaches, mais ils n’aiment pas qu’on les embrigade dans une nouvelle morale, le sexuellement correct.
Intermittents du spectacle, permanents de la subversion
La demande faite par le MEDEF d’aligner les intermittents du spectacle sur le régime général de la Sécurité Sociale est un coup de pied dans la fourmilière de la culture, que le ministre Aurélie Filippetti appuie. Et pour cause : les privilégiés mis en cause sont ses amis politiques, des permanents de la subversion.
Mon Dieu qu’il est mauvais le cochon, aurait dit le regretté Michel Serrault. Contrairement à ce qui est dit le système coûte bien de l’argent, et il est terriblement improductif quand on voit l’état du spectacle en France. Sans compter les cas les plus scandaleux d’acteurs très aisés qui n’hésitent pas à en profiter, il y a ceux, beaucoup plus fréquents, des techniciens, éclairagistes et autres maquilleuses qui y émargent sans vergogne.
Les prébendes du politiquement correct
Tous ces mécanismes faussent le marché. Ils mettent le théâtre, la danse, le cinéma, aux mains pour l’essentiel d’un petit monde terriblement politisé et sans grand talent. Ce Landernau parisien pompe les prébendes d’un ministère que Jack Lang avait organisé comme une machine à arroser les copains. Des copains qui popularisent les nouvelles mœurs et mènent toujours les « combats » à la mode. Un moule à politiquement correct en somme. Les intermittents du spectacle sont des permanents de la subversion.
Culture de mort : la franc-maçonnerie belge en pointe
La Belgique est devenue jeudi le premier pays d’Europe à légaliser l’euthanasie des enfants sans âge minimum. Les Pays-Bas l’ont au moins limitée aux plus de 12 ans. Etrange maximalisme. Sur toutes les lois dites sociétales et la culture de mort, la franc-maçonnerie belge est en pointe. Lire la suite…