Dès mai, le nouveau premier ministre italien Renzi promet mille euros à ceux qui en gagnent moins de vingt-cinq mille par an. Et la nouvelle présidente chilienne Michelle Bachelet, elle, lance un plan pour l’instruction publique.
Comme la comédie antique, la communication démocratique utilise des masques conventionnels.
Michelle Bachelet a coiffé le masque de la gauche classique, Renzi celui de la nouvelle gauche qui a un sourire presque berlusconien : mais les deux jouent la même pièce mondialiste, Bachelet en améliorant le formatage des jeunes esprits au politiquement correct, Renzi en lâchant un petit peu d’oxygène frais au peuple italien de sorte qu’il continue d’accepter la mise au pas de l’Europe·