Incroyable mais vrai. C’est officiel et cela vient de paraître dans The Canadian Independant qui, à la suite d’une procédure ordinaire au Canada, a obtenu l’accès au contrat signé par le représentant légal du Canada, le premier ministre Justin Trudeau, et la firme Pfizer, à laquelle il commandait plusieurs millions de dose de vaccin à ARN messager contre le Covid-19 : le gouvernement fédéral savait qu’il n’y avait pas de garantie donnée par Pfizer que l’injection serait efficace ni sûre à cent pour cent. Il a signé les yeux fermés et chat en poche un document qui met en jeu la santé de ses concitoyens.
Un contrat formel : aucune garantie sur le vaccin Covid
On peut lire dans le contrat signé entre l’Etat fédéral du Canada et Pfizer daté du 26 octobre 2022 : « L’acheteur reconnaît en outre que les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont pas connus aujourd’hui et qu’il peut y avoir des effets négatifs du vaccin qui ne sont pas connus aujourd’hui. » Dans le même document, Trudeau reconnaît que le vaccin Covid a été « produit rapidement à cause de l’urgence des circonstances de la pandémie de Covid-19 ». Le document précise aussi que les doses ne seraient pas « sérialisées » : or, quand un vaccin est « sérialisé », on lui donne un identifiant unique qui permet de le tracer tout au long de la chaîne de production et de distribution.
Le Canada a acheté 238 millions de doses à Pfizer
Le Canada a imposé 238 millions d’injections de vaccin Covid, dont 30 millions pour 2023 et 2024. Trudeau et son gouvernement en ont fait lourdement la propagande. Dès 2021, il avait dénigré les Canadiens marqués « par une opposition véhémente à la vaccination », en affirmant qu’ils ne « croyaient pas à la science », étaient souvent « misogynes et racistes », se demandant si le Canada devait continuer à « tolérer ces gens ». Voilà qui sonne bizarrement quand on lit qu’il reconnaissait par contrat que Pfizer ne donnait aucune garantie d’innocuité ni d’efficacité de son vaccin. En cela du moins il ne se trompait pas, puisque le site LifeSite révèle qu’une séquence du virus simien 40, utilisé dans des vaccins contre par exemple la poliomyélite, entraîne des cancers, était présente dans la composition du vaccin Pfizer, ce que confirme le ministère de la Santé du Canada.