L’Agenda 2030 de l’ONU pour le développement durable (ODD), ou le programme pour un socialisme à l’échelle planétaire

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Vers un totalitarisme mondial.

 
Les ambitions totalitaires et mondialistes de l’institution supranationale et maçonnique siégeant à New York se font de plus en plus précises. L’Agenda 2030 pour un développement durable – ou, selon l’appellation française officielle, les Objectifs ou Programme du développement durable pour la planète (ODD) – va en effet entraîner des transformations aussi radicales qu’universelles dans tous les domaines de la vie de tous les habitants de la terre. Sous couvert d’un objectif louable sur le papier – libérer la race humaine de la tyrannie de la pauvreté— l’Agenda 2030 signe en réalité la fin des libertés individuelles, de l’éducation de nos enfants et de la liberté de pensée autrement que dans le cadre de l’établissement d’un nouvel ordre mondial (NOM) qui n’aura strictement rien à envier aux idéologies nationalistes et faussement universalistes d’un passé encore récent. Ce qu’il vise, en réalité ? Un socialisme à l’échelle planétaire.
 

L’Agenda 2030, feuille de route de l’ONU pour un socialisme universel

 
L’objectif n° 10 de l’agenda ne laisse aucun doute quant à la nature socialiste et fasciste de ce nouvel ordre mondial : « Réduire les inégalités dans les pays et d’un pays à l’autre ». L’introduction, en son n° 27, précise que cela se fera au moyen de la « croissance soutenue, inclusive et durable » : « Elle ne sera possible que si la richesse est partagée et si l’on s’attaque aux inégalités de revenus. »
 
Mais le socialisme à l’échelle nationale ne saurait suffire pour combattre ces inégalités : il conviendra d’instaurer un socialisme international à l’échelle planétaire afin de réduire les inégalités entre pays. En d’autres termes, le document exige que les contribuables occidentaux se tiennent prêts à être littéralement spoliés de leurs richesses qui seront redistribuées à l’échelle internationale à mesure que leurs gouvernements tout-puissants s’occuperont de niveler l’économie de leurs pays.
 

Le socialisme planétaire inscrit dans le Programme du développement durable

 
Mais la seule redistribution ne suffira pas. « Nous nous engageons à apporter des changements radicaux à la manière dont nos sociétés produisent et consomment biens et services. Les gouvernements, les organisations internationales, le secteur privé, les autres acteurs non étatiques et les particuliers doivent tous participer à la transformation des modes de consommation et de production non durables, notamment en mobilisant, auprès de multiples sources, le soutien financier et technique qui permettra aux pays en développement de renforcer leurs capacités scientifiques et techniques et leurs capacités d’innovation en vue d’adopter des modes de consommation et de production plus durables », affirme le n° 28 de l’introduction.
 
En clair, le Programme 2030 décrète que nos modes de vie ne sont plus envisageables, qu’il va falloir vivre avec moins, selon ce qu’avait déjà défini feu Maurice Strong, le très discret mais très puissant gourou environnemental de l’ONU : « Il est évident que les modes de vie et de consommation de la classe moyenne aisée… avec sa consommation importante de viande, de surgelés, de plats préparés, possédant des véhicules, de nombreux appareils électroménagers, avec la climatisation tant à la maison qu’au bureau… avec son immobilier urbain hors de prix… ne s’inscrivent pas dans un perspective durable », disait-il.
 
Le mondialisme onusien veut donc imposer la frugalité à tous les « riches » de ce monde au nom de l’idéologie du prétendu développement « durable » où l’homme est l’ennemi de la nature et selon laquelle la Terre-mère – une expression qui figure dans le Programme 2030 – est la nouvelle déité digne d’un véritable culte sacrificiel.
 

Les ODD au service de la redistribution des richesses

 
Bien entendu, il ne faudrait pas croire que les ardents promoteurs de l’Agenda 2030 affirment vouloir appauvrir le monde. Au contraire, leur nouvel ordre mondial prendra bien soin de tout un chacun, notamment grâce à une couverture de santé universelle. L’Objectif 3 de l’Agenda 2030 consiste à promouvoir vie saine et bien-être aux travers des programmes gouvernementaux veillant à la santé mentale ou aux soins reproductifs et sexuels. Mots qui cachent avortement et contraception, le développement durable étant au service d’une idéologie malthusienne…
 
En cela, l’ONU partage la même vision que Lénine, responsable de millions de morts, quant à l’importance d’un système de santé contrôlé, qu’il qualifiait de véritable « pierre d’angle » du socialisme. Obama le prouve amplement avec l’ObamaCare, « grand bon en avant » en matière de contrôle étatique de la santé des citoyens.
 

L’éducation, cheval de bataille pour former les jeunes au socialisme selon l’ONU

 
La promotion du socialisme international prôné par ce Nouvel ordre mondial ne pourra fonctionner qu’en colonisant les esprits, particulièrement ceux de la future génération. C’est ainsi que le Programme 2030 se veut une « charte » pour le XXIe siècle : « Les enfants et les jeunes sont des agents essentiels du changement et trouveront dans ces nouveaux objectifs l’inspiration qui leur permettra de mettre leur infinie capacité d’action au service de la création d’un monde meilleur », affirme le n° 51 de l’introduction.
 
Dans la plus pure veine maoïste, l’Agenda 2030 vise à s’assurer que les enfants disposeront de tout le savoir et de toutes les compétences nécessaires à la promotion du développement durable… selon la vision de l’ONU. Elle comprend la promotion du contrôle de la population, de la planification centralisée, de la gouvernance mondiale, etc. L’ONU prône ouvertement l’utilisation des écoles pour endoctriner toute l’humanité dans un nouvel ensemble de valeurs, d’attitudes et de croyances en vue de préparer son Nouvel ordre mondial de la « durabilité » et de la l’écologie.
 
L’opération sera tout sauf gratuite : outre le prix à payer en droits, en libertés, en indépendance et en souverainetés nationales, elle aura un coût pécuniaire aujourd’hui évalué à 3.000 à 5.000 milliards de dollars par an, selon les estimations de bureaucrates de l’ONU.
 
Les 193 gouvernements représentés à New York ont unanimement applaudi l’adoption de cette charte du nouveau complot onusien de redéfinition de la civilisation le 25 septembre dernier, lors de la 70e réunion annuelle de la l’Assemblée générale. Certains dictateurs auront bien compris que leur longue expérience a encore un bel avenir devant elle, à travers l’application du plan socialiste universel de l’institution supranationale maçonnique à la pointe de tous les combats idéologiques modernes. Robert Mugabe et le parti communiste chinois n’ont pas caché leur satisfaction… Et l’éminent internationaliste et mondialiste patenté, Javier Solana, n’a-t-il pas qualifié ce plan de « Grand Bond en avant » ?
 
Rappelons simplement que le dernier grand bond en avant décrété par Mao Tsé-Toung entre 1958 et 1963 s’est conclu par la mort de 45 millions de Chinois réduits en esclavage, affamés ou battus à mort. Une référence.
 

Nicklas Pélès de Saint Phalle