Si, si ! Le gourou milliardaire du réchauffement a déclaré cela au New European, expliquant que la sécheresse en Syrie a poussé entre 2006 et 2010 1,5 millions de « réfugiés climatiques » vers les villes où ils sont entrés en « collision avec 1,5 millions supplémentaires de réfugiés de la guerre d’Irak ». Puis vint la guerre civile et « l’ouverture des portes de l’enfer », suivie de la crise des réfugiés qui a « commencé à faire trembler les fondations de l’essai d’unification européenne ».
« Il y a évidemment eu beaucoup de causes au Brexit, mais l’une d’entre elles est bien celle-là. La publicité la plus forte de la campagne aura été ce panneau d’affichage montrant les queues sans fin de réfugiés aux frontières de l’Europe avec ce message implicite : “Voulez-vous qu’ils viennent ici ?” », a-t-il expliqué.
L’analyse se discute, d’autant que cette affiche de l’UKIP n’a eu que peu de retentissement médiatique. Et d’autant plus qu’un grand nombre de « réfugiés » ne venaient pas du tout de Syrie.
Mais tout est bon pour accuser de réchauffement !