La Phrase : « Les banques essaient de nous forcer à une société sans liquide (qui aboutirait) à un système de crédit social où vous ne pourrez participer à la vie que si vous obéissez à l’orthodoxie dominante du jour »

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Telle est l’opinion de Nigel Farrage, l’ancien patron de l’UKIP et chef de file du Brexit. Il a un contentieux avec les banques, plusieurs d’entre elles ayant fermé ses comptes sans préavis, alors qu’ils étaient normalement alimentés, pour ne pas être associées à des comportements « xénophobes et racistes ». Cette pratique arbitraire, appelée « De-Banking », est en train de s’étendre en Grande-Bretagne à tout ce qui peut être jugé « incorrect » ou « inapproprié ». Et cela donne objectivement raison à Farrage : l’interdit bancaire pour raison idéologique ou politique peut faire d’un individu un mort social, en grande difficulté pour contracter un emprunt ou toucher un salaire ou une pension. Et du moment que, par hypothèse, l’argent liquide n’existerait plus, toute personne frappée de De-Banking serait réduite à l’état de clochard. Or, la tendance dans les pays anglo-saxons (UK, Australie) est à la limitation progressive des retraits dans les distributeurs de billets. Si l’on arrivait à la suppression, on aboutirait à une situation analogue au système chinois, où la vie et les achats de tout individu sont limités par le nombre des « points de bonne conduite » qu’il a récoltés. Conclusion de Farrage : « Nous ne devons pas permettre au liquide de disparaître. Il faut que le gouvernement agisse, et très, très vite. »