La prestigieuse institution de Rhode Island, Etats-Unis, au nombre des universités historiques de l’Ivy League, répond ainsi aux revendications d’étudiants qui font partie de catégories ethniques « historiquement sous-représentées », au contraire des « Amérindiens, Alaskans autochtone, Afro-américain, Hispaniques, Latinx (mot “gender-neutral” pour désigner les Latinos), Hawaïen autochtones et Iliens du Pacifique » qui ont droit à un statut de minorité reconnue.
Ce sont les étudiants de provenance internationale ou Améro-asiatiques qui se sont plaints de ne pas être invités à s’identifier comme membres d’une minorité. De telle sorte – comme le dit un étudiant de troisième cycle – que « certains étudiants se sentent invisibles ».
La manière dont la classification des étudiants est désormais présentée laisse supposer que n’importe quel étudiant pourra se décrire comme étant « de couleur ».
L’université Brown (ce qui veut dire : « marron », cela ne s’invente pas !) a refusé de donner des informations sur sa politique de recrutement d’étudiants bénéficiant du statut de minorité.