Les premiers tests démarrés en mai dernier ont confirmé que le revêtement « Coolseal » – gris clair en réalité – permet de réduire la température des surfaces de 3° C au maximum. Au contraire de la plupart des pavements « frais » sur le marché, fabriqué à partir de polymères, il est constitué d’une émulsion d’asphalte dans l’eau.
Présenté comme durable – sa durée de vie pourrait atteindre sept ans – le revêtement est également plus cher que le bitume classique, avec un coût estimé à environ 21.000 euros par kilomètre.
Le recours au revêtement blanc permettrait de lutter contre l’effet « îlot de chaleur » des grandes villes où l’on enregistre généralement des températures plus élevées qu’alentour par temps chaud.
On peut imaginer que cela soit plus agréable pour les habitants (à charge pour eux d’acheter des lunettes de neige, peut-être !) – mais ça fait cher pour un réchauffement durable non avéré.