Chine : une étude révèle l’impact positif du christianisme sur la croissance économique

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Une nouvelle étude publiée par la Revue Economique Chinoise se focalise sur l’impact des croyances religieuses dans le développement économique. Elle révèle que « le christianisme a l’effet le plus important sur la croissance économique » et que le développement constant du christianisme en Chine a eu un rôle sensible sur la croissance économique.
 

Impact positif du christianisme sur la croissance économique en Chine

 
L’information n’est pas nouvelle : l’étude se base sur les travaux de Zhao Xiao, réalisés en 2002, qui avait été le premier à affirmer que l’économie chinoise profiterait d’une expansion du christianisme.
 
A l’époque, cet économiste avait expliqué cette corrélation par la moralisation de la vie économique entraînée par la diffusion du christianisme qui favorise l’investissement légal et raisonnable plutôt que la spéculation illicite et sauvage.
 
Mais cette nouvelle étude va plus loin en confirmant la première analyse. Elle compare les différences économiques entre les provinces chinoises, en fonction du pourcentage de chrétiens sur place.
 
Et les premières conclusions de Zhao Xiao sont renforcées. Les chercheurs ont découvert une corrélation positive entre les régions à la croissance économique particulièrement forte et la présence de congrégations religieuses et d’institutions chrétiennes dans ces mêmes régions.
 

Christianisme : seule religion à avoir un impact positif sur la croissance économique

 
Etudiant une période qui va de 2001 à 2011, ces deux chercheurs ont comparé l’impact des différentes religions sur l’économie régionale. Ils ont découvert que le christianisme est la seule religion à entraîner de pareilles transformations. Le rapport précise en effet qu’ « aucune conclusion cohérente » ne peut être tirée au sujet des autres religions.
 
Une bonne nouvelle pour l’économie chinoise puisque l’Eglise est en constante évolution malgré les brimades encore imposées par le pouvoir central communiste.