L’idée de « couvrir » cet entretien destiné à permettre aux patients de faire des choix de soins pour leur derniers jours avait été rejetée il y a un an au moment du vote de l’Affordable Care Act (loi sur les soins accessibles) au motif qu’on y voyait un moyen de faire des économies, en poussant les malades à « consommer » moins de soins ou en les persuadant que ceux-ci seraient inutiles.
50 millions de personnes sont concernées par la mesure qui entrera en vigueur au 1er janvier et elle pourrait « déteindre » sur les assureurs privés qui suivent souvent l’exemple de l’assurance santé publique américaine.
La loi a été votée en juillet avec des voix des Démocrates comme des Républicains et devrait aboutir, d’après le Wall Street Journal, à une baisse des dépenses en fin de vie.
Environ 25 % des fonds Medicare couvrent aujourd’hui les dépenses relatives à la dernière année de vie.