David Brock et les agents de George Soros ont concocté le plan visant à faire museler la droite par Google et Facebook

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Un rapport explosif de 49 pages qui vient d’être diffusé dans le grand public confirme que les agents du milliardaire spéculateur libéral-libertaire anti-occidental George Soros ont pensé et organisé les attaques les plus diaboliques contre la liberté d’expression qu’ait connu l’histoire américaine. Parmi ces agents se trouve David Brock, un Démocrate gauchiste – après avoir été un journaliste marqué à droite -, fondateur entre autres de l’agence de flicage anti-conservatrice Media Matters for America, co-financée par Soros et les Démocrates. Ces personnages sont à l’origine d’une série d’opérations visant à museler la droite sur internet, lancées par Google, Facebook ou Twitter. Ils ont élaboré les plans et ont donné le signal de départ.
 

« Eliminer la propagande de droite » en travaillant avec Google et Facebook, prône David Brock

 
Ce rapport confidentiel visant à « faire battre Trump » avait été présenté en janvier 2017 par David Brock lors d’un séminaire d’une centaine de donateurs en Floride. Il expliquait comment réussir à « éliminer la propagande de droite et les fausses nouvelles » en travaillant main dans la main avec les grandes plateformes de médias sociaux, Google et Facebook en tête. Il avait été dénoncé dès 2017 par le site freebeacon.com. Nombreux furent ceux alors qui en prirent connaissance, très probablement parmi eux Donald Trump, son vice-président Mike Pence et les principaux élus républicains au Congrès. Mais la plupart des Américains, et plus encore les Européens, ne savaient encore rien de son existence, les gros médias de l’oligarchie s’étant soigneusement gardés d’en parler.
 
Ces gros médias, explique Joseph Farah sur thenewamerican.com, « ne veulent rien en dire, ils seraient très embarrassés si l’Amérique découvrait la façon dont elle est manipulée, depuis le mantra sur la « collusion russe » jusqu’à d’autres thèses conspirationnistes qui, toutes, ciblent le supposé criminel n°1 : le président Trump ». Or le plan ne vise rien d’autre qu’à transformer les géants des médias sociaux en agents hyper-partisans du parti démocrate, promoteurs, supporteurs et donateurs officieux qui feraient in fine des Etats-Unis un pays à parti unique.
 

Museler la droite en masquant par exemple les posts des candidats conservateurs

 
La relation est facile à établir entre ce plan et les récentes décisions prises par les magnats de la Silicon Valley : « masquer secrètement » les posts émis par les candidats conservateurs aux élections et leurs conseillers, supprimer les contenus de leurs comptes, déléguer certains sites dans les tréfonds des moteurs de recherche. Et ils continuent de museler la droite, même si la mèche a été vendue. « Cela s’explique tout simplement, écrit Joseph Farah, parce que Google et Facebook tiennent l’ensemble du système médiatique en laisse. » Le premier contrôle l’accès aux contenus, le second la remontée desdits contenus. Farah poursuit : « Ils exploitent les médias. Ils manipulent les médias. Ils choisissent quel média gagnera et quel média perdra. C’est un pouvoir de l’ombre tel que nous n’en avons jamais connu dans l’histoire américaine ».
 
Le calendrier de ce complot est essentiel. Il a débuté juste après que Trump est entré en fonctions, en janvier 2017. C’est à ce moment qu’ont commencé les attaques contre les médias indépendants et alternatifs : WND, Breitbart, etc… La pression est allée s’accentuant depuis lors, par le moyen d’algorithmes et de codes sémantiques manipulés à des fins politiques.
 

La cabale réunissant Google, Facebook et les autres vise à empêcher une élection honnête

 
La cabale réunissant Google, Facebook, YouTube, Twitter, Amazon et Apple vise à empêcher que les Etats-Unis connaissent à nouveau une élection honnête et libre. « La mystification que constitue la thèse de la « collusion russe » vise à détourner le regard du public de la vraie collusion, celle des médias avec les militants extrémistes anti-américains, opposés à toute liberté d’expression », écrit Farah. Ces extrémistes gauchistes globalistes visent à transformer la société américaine en un conglomérat dominé par de gigantesques entreprises contrôlant tout, principalement ce qu’il convient de penser.
 
Face à ce gigantesque défi, chacun doit réagir, y compris en Europe, continent visé au moins autant que les Etats-Unis par la conjuration médiatico-socialiste globaliste et matérialiste. En France l’élection « arrangée » de l’archi-globaliste et immigrationniste Macron par des « affaires » sorties et surmédiatisées à point nommé contre Fillon en est l’illustration la plus criante. Aux Etats-Unis, il convient d’abord de faire savoir que le complot vise directement l’administration Trump, et qu’il est à la limite d’un putsch soutenu par l’Etat profond. Les géants des réseaux sociaux s’acharnent sur les médias indépendants qui ont contribué à son élection en dénonçant leurs mensonges. L’oligarchie des technologies est tout près de réussir. Il est urgent que le président Trump, son vice-président et les élus républicains au Congrès encadrent sévèrement ce « cartel des codes sémantiques », Google et Facebook, faute de quoi ce grand pays de la liberté d’expression pourrait sombrer rapidement dans la tyrannie.
 

Soutenir les sites visés par Google et Facebook et par les attaques médiatico-judiciaires contre la droite

 
Partout dans le monde libre, et singulièrement en France, il convient de soutenir ceux qui sont le plus visés par la censure des géants de l’internet et par les attaques incessantes des ONG de la pensée unique, qui s’appuient dans l’Hexagone sur un appareil législatif répressif comme jamais depuis l’époque napoléonienne, et qui sont soutenues par une large part de l’appareil judiciaire. Les censures des géants gauchistes, globalistes, multiculturalistes et nihilistes des moteurs de recherche et des échanges de contenus, Google, Facebook, YouTube, Twitter, doivent être compensées par un soutien financier citoyen et une multiplication des connexions. Et un boycottage le plus massif possible des censeurs.
 

Matthieu Lenoir