Alors que se tient au siège de l’ONU à New York un sommet sur le réchauffement global en présence de 140 chefs d’Etat ou de gouvernement, une nouvelle étude sérieuse, qualifiée d’« importante » même dans la presse grand public américaine, révèle que l’homme n’est pour rien dans le réchauffement constaté sur la côte ouest des Etats-Unis.
Une augmentation de 1°C de la température moyenne a été observée depuis 1900 dans cette partie du pays et se trouve être le résultat de changements de vents et de courants d’airs au dessus de l’Océan Pacifique, selon les scientifiques de l’Université de Washington. Ils ajoutent qu’il est impossible de trouver la moindre preuve de l’influence des émissions de gaz à effets de serre sur ces changements.
Surprise ?
De nombreux scientifiques répétaient depuis des années que la température pouvait varier naturellement, mais certains affirmaient que les émissions de gaz à effet de serre étaient un facteur très important du réchauffement de la région.
« L’histoire est simple mais les résultats sont très étonnants : nous ne voyons pas de responsabilité humaine dans le réchauffement de la côte ouest » a affirmé l’un des auteurs de l’étude avant d’ajouter : « Cela prend tout le monde par surprise et pourrait engendrer un retournement de situation ».
Les auteurs se sont pourtant empressés de déclarer que les découvertes ne remettaient pas du tout en cause les thèses du réchauffement global mais que la région était particulière… Ouf !