Le meurtrier de l’Isère n’évoque pas d’attentat terroriste

Le meurtrier de l’Isère n’évoque pas d’attentat terroriste
Yassin Salih, qui avait décapité son patron, affiché sa tête aux côtés d’une bannière rédigée en arabe et tenté ensuite de foncer sur l’usine à gaz avec la voiture de son défunt patron est passé aux aveux : il a bien tué son patron. Mais Salih aurait évoqué un simple différend personnel avec la victime, plus qu’un acte terroriste.
 
Les médias ont repris en boucle cette information, censée rassurer les Français.
 
Le terrorisme islamiste, c’est comme le nuage de Tchernobyl : il est circonscrit par le discours officiel.