Les travaillistes du Royaume-Uni sont parmi les plus extrémistes en matière de « transition énergétique » et ils viennent de le confirmer en annonçant que plus de 10 % des terres agricoles du pays seront détournées de leur destination actuelle – la production de nourriture – pour en faire des parcs éoliens ou pour y planter des arbres et améliorer l’habitat des oiseaux, des insectes et des poissons. Outre que le « net zéro » ainsi poursuivi – la réduction des émissions carbones – ne servira pas à empêcher le « réchauffement climatique », on peut aussi taxer de mensonge l’assurance de Steve Reed, secrétaire d’Etat à l’environnement, qui a assuré que ces nouvelles opérations allaient « alimenter la croissance économique ». Au contraire, on opte pour une énergie aléatoire, de plus en plus chère… en même temps qu’on mettra en péril la sécurité alimentaire britannique.