
En cause : la baisse progressive notée même chez les meilleurs élèves, le poids toujours plus important des déterminismes sociaux et un écart important entre les filles et les garçons.
« Ces constats sont d’autant plus paradoxaux que les élèves français passent, en moyenne, plus d’heures à apprendre les fondamentaux que dans d’autres pays européens », se désole la Cour.
Mais silence sur les bonnes méthodes d’apprentissage, de la lecture notamment, dont le rejet depuis des décennies assure le désastre intellectuel qui persiste et s’aggrave.