En cas d’échec des négociations de Lausanne tous les efforts engagés seraient réduits à néant, a-t-elle prévenu.
La Chine appelle donc à un compromis de dernière minute, alors que la date-butoir du 31 mars est déjà passée.
« Il est important de donner une orientation politique aux négociations. (…) Il est important d’aplanir les différends » a déclaré la délégation chinoise, après le départ du ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi, de Lausanne.