La Cour de cassation égyptienne a ordonné la tenue d’un nouveau procès devant une cour criminelle, alors que l’ex-président, proche des Frères musulmans, était sous le coup d’une condamnation pour violences au cours de la révolte de 2011.
Morsi reste condamné à vie pour espionnage au profit du Hamas, du Hezbollah et de l’Iran, et à 20 ans pour violences contre des manifestants alors qu’il dirigeait l’Etat égyptien.
Une dernière décision rendue en juin dernier l’a condamné de nouveau à vie pour le « vol de documents relevant de la sécurité nationale » et leur transmission au Qatar.