Un rapport parlementaire demande le report de la fermeture de Fessenheim

François Hollande s’y était engagé, pour « avant la fin » de son quinquennat. La commission parlementaire des finances estime qu’un arrêt dès 2016 pourrait coûter 5 milliards d’euros à l’Etat, « sans même commencer le démantèlement », et menacerait à 1.900 emplois directs, indirects ou induits. Hervé Mariton (UMP) et Marc Goua (PS) estiment en outre qu’il n’y a aucune raison de fermer cette centrale plutôt qu’une autre, alors que les investissements de sécurité réalisés « garantissent le plus haut niveau de sûreté ».