Scandale scientifique : l’« ajustement » des températures au service de la peur du « réchauffement » et la question de la fonte des glaces arctiques

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Christopher Booker, journaliste « climato-sceptique » au Daily Telegraph de Londres, vient de publier un article où il pointe le bidouillage des données sur les températures en vue de faire croire au réchauffement d’origine humaine. La « Grande peur » du XXIe siècle repose selon lui sur « le plus grand scandale scientifique de tous les temps ». Son papier est à la une des informations les plus lues site du quotidien britannique, signe que le matraquage politico-médiatique sur le « climat » suscite bien des réserves de la part du public. La fonte des glaces arctiques n’est pas causée par le réchauffement, assure-t-il. Son seul article a suscité près de 15.000 commentaires, pour ou contre : cela est déjà une indication de l’existence d’un débat alors même que ce débat est largement tabou dans le monde scientifique.
 
La panique du réchauffement repose sur des chiffres qui ont été « ajustés », bidouillés, trafiqués en vue de faire croire à une situation très différente de ce qu’elle est dans la réalité, assure Christopher Booker. Après avoir signalé les travaux d’un chercheur qui, preuves à l’appui, a montré que des données recueillies dans trois stations du Paraguay avaient été carrément inversées pour indiquer un réchauffement sur 60 ans alors que dans les faits c’est un refroidissement qui avait été enregistré, il revient à la charge avec de nouveaux exemples de données faussées.
 

“Réchauffement” : ajustement des températures à la hausse

 
Paul Homewood, ledit chercheur, a en effet analysé les données d’une multitude d’autres stations météorologiques en Amérique du Sud : partout, il a constaté les ajustements et bidouillages à sens unique. Des ajustements réalisés dans un premier temps par le Global Historical Climate Network, agence publique américaine, avant d’être repris et amplifiés par le Goddard Institue for Space Studies et le National Climate Data Center, et au bout du compte « extrapolés » pour l’estimation d’un semblable réchauffement des températures dans d’importantes zones de la planète où aucune mesure n’est prise sur le terrain.
 
Plus spectaculaire encore : Homewood étudie désormais les stations météo de l’Arctique, depuis le Canada jusqu’en Sibérie, et assure que les températures ont été systématiquement surestimées d’un degré Celsius. De ces données, le petit (et violent) épisode glaciaire vécu par l’Islande autour de 1970 a même totalement disparu, à la grande surprise d’un ancien responsable du bureau météorologique de ce pays, Traust Jonsson.
 

Le scandale scientifique touche l’analyse de la fonte des glaces dans l’Arctique

 
De même, le journaliste assure que les années les plus chaudes de l’Arctique autour de 1940 ont fait l’objet de réévaluations telles qu’elles paraissent désormais plus froides par rapport aux mesures actuellement annoncées. Pour ce qui est de la fonte des glaces dans l’Arctique, emblématique du réchauffement, elle n’est pas due à ce « réchauffement » qui fédère les puissants de ce monde et leur permet de prendre des mesures coûteuses et néfastes, mais aux variations cycliques d’un courant atlantique chaud dont le dernier pic, il y a 75 ans, a provoqué une fonte plus importante que celle enregistrée aujourd’hui. C’est au moins une donnée à prendre en considération, or l’exploitation de la Grande peur du réchauffement l’interdit.
 
L’étude de Homewood confirme celles effectuées par de nombreux scientifiques depuis au moins vingt ans et qui vont dans le sens d’une falsification massive des données.