Suède : les viols ont monté en flèche depuis 1975 mais chut !, ce n’est pas la faute à l’immigration

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Si les femmes sont une minorité à protéger, notamment par l’extension du concept de viol – parfois à l’excès, au nom du politiquement correct – il y a d’autres minorités à protéger qui peuvent être concurrentes, et même gagner à ce jeu des nouveaux privilèges. C’est que montre l’exemple de la Suède : les viols y ont monté en flèche depuis 1975, mais il se trouve que cette nouvelle criminalité, souvent très violente, est en corrélation avec la montée de l’immigration extra-européenne.
 
En Suède les statistiques relatives à la nationalité des délinquants sont rares, et politiquement incorrectes. Des études ponctuelles montrent cependant que la grande majorité des violeurs condamnés dans telle ou telle juridiction dans ce pays sont des « étrangers ».
 

La Suède, deuxième pays au monde pour le nombre de viols

 
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La Suède affiche aujourd’hui le second taux officiel de viols le plus élevé du monde : plus de 66 viols par 100.000 habitants et par an. C’est cinq fois plus qu’aux Etats-Unis. Seul le minuscule Lesotho connaît des statistiques plus catastrophiques, assurent deux journalistes dans un article publié par le Gatestone Institute, fondé par Nina Rosenwald et qui compte Elie Wiesel au nombre de ses conseillers.
 
Ingrid Carlqvist et Lars Hedegaard assurent que l’augmentation faramineuse des crimes et des viols a coïncidé avec la décision unanime du parlement suédois, il y a quarante ans, de transformer la Suède en « pays multiculturel ». Les crimes violents ont augmenté de 300% depuis lors, les viols de 1.462% : on est passé de 421 viols déclarés à la police en 1975 à 6.620 en 2014.
 
De multiples explications sont proposées, qui vont de l’extension du champ du viol (on pense à Julian Assange accusé de viol pour avoir eu des relations sexuelles consenties, mais sans préservatif) et l’augmentation mécanique des plaintes qu’elle entraîne, au fait que les Suédois seraient davantage enclins à signaler les viols à la police. Plus original encore : on explique que les hommes suédois ont du mal à accepter l’égalité croissante dont bénéficient les femmes, ce qui les conduirait à réagir avec violence à leur égard.
 

L’immigration extra-européenne a monté en flèche depuis 1975

 
Mais le Gatestone Institute signale que la Suède a aujourd’hui la plus forte croissance de population à la fois de son histoire, et de l’Europe, due très largement à l’arrivée massive d’immigrés, pour la plupart originaires de pays musulmans. Et que toutes les études menées sur le viol depuis 1960 montrent une surreprésentation des hommes étrangers parmi les hommes accusés de viols ou condamnés pour ce crime : ils sont entre 2,1 et 19,5 fois plus selon les études.
 
Il faudrait s’interroger sur la culture du viol en islam : un sujet tabou en Suède, signalent les auteurs. S’interroger aussi sur le viol en réunion, un phénomène en pleine expansion qui concerne presque toujours des auteurs d’origine immigrée, le plus souvent de pays islamiques. Ce genre d’affaires a plusieurs fois conduit à des relaxes, au motif que la victime était consentante, ou qu’elle n’était pas absolument sans défense. D’autres affaires font l’objet d’articles dans la presse qui désignent les responsables des viols comme étant des « Suédois », sans autre précision, alors qu’ils sont d’origine immigrée. L’occultation systématique de cette donnée relève elle aussi de la protection des minorités, qui prend le pas sur la protection des femmes.