Cette nouvelle loi canadienne est entrée en vigueur jeudi, avec l’objectif de tenir à distance les personnes qui prient, brandissent des pancartes pro-vie ou offrent une assistance aux femmes candidates à l’avortement pour garder leur enfant.
Par ailleurs, les hôpitaux, pharmacies et autres établissements de santé se voient autorisées par la loi à demander individuellement la mise en place d’une zone-tampon pouvant aller jusqu’à 150 mètres.
D’ores et déjà, les huit avortoirs de l’Ontario bénéficient de cette loi d’exception qui menace de peines d’amende et de prison les contrevenants.
Cette interdiction de la liberté d’expression (de la vérité) signe l’orientation totalitaire des partisans de l’avortement. Il est vrai qu’on n’imaginerait pas des protestations publiques devant un camp de concentration nazi ou communiste. La même logique ?