Avec Soros, la grosse finance mondialiste derrière la campagne anti-Trump

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Les manifestations et les violences de la campagne anti-Trump sont montées par des organisations radicales que finance indirectement George Soros. Le milliardaire mondialiste n’est pas seul à financer la révolution par l’intermédiaire d’associations écrans. Il finance aussi les émeutes anti-police et la propagande réchauffiste.
 
Ce n’est qu’une image, mais elle parle. L’ancien président Obama et son épouse sont en vacances dans l’île Necker, un petit paradis tropical d’une trentaine d’hectares qui fait partie de l’archipel des îles vierges. Il y est l’hôte du milliardaire britannique sir Richard Branson qui a envoyé son Falcon le prendre en Californie. Quel parcours pour le petit « travailleur de communautés » noir qui a fait ses débuts à Chicago voilà plus de trente ans. Pas plus que son émule Hillary Clinton, elle aussi ancienne disciple du radical trotskiste Saül Alinsky, le président le plus révolutionnaire des cinquante dernières années aux États-Unis n’est pas un adversaire de la grosse finance, à condition qu’elle soit mondialiste. La collusion entre la fortune anonyme et vagabonde et la révolution se conçoit sur les plages idylliques et porte ses conséquences dans les rues incendiées et les émeutes raciales.
 

Soros, l’homme des Rothschild, derrière la campagne anti-Trump

 
On se souvient qu’Obama a tout fait pour mettre des bâtons dans les roues de Trump après l’élection de celui-ci, tant par ses nominations et décrets de dernière minute que par la campagne de dénigrement à propos de la prétendue interférence des services russes dans la campagne. Il agit ainsi en tant que patron des Démocrates, Hillary Clinton demeurant KO debout après sa défaite, et au nom de la grosse finance mondialiste qui le commandite.
 
Derrière cette marionnette politico-médiatique rompue à la communication, le vrai pouvoir est en effet représenté par quelques gros représentants de la finance mondialiste, dont en particulier Georges Soros, obligé des Rothschild. Il arrose à la fois les réseaux qui influencent les médias et les intellectuels et les organisations militantes, y compris celles qui ont une stratégie de violence illégale.
 

La grosse finance mondialiste se cache derrière des sociétés écrans

 
Naturellement le porte-parole de George Soros, Michael Vachon, a juré ses grands dieux dans Value Walk que « George Soros ne finance pas les manifestations anti-Trump ». C’est ce qu’il avait déjà fait lors de l’opération Occupy Wall Street. Mais la liste de financement du mouvement montrait qu’Occupy Wall Street avait reçu des fonds importants de la Tides Foundation – laquelle sert d’intermédiaire à toutes les grandes fondations (Rockefeller, Ford, Carnegie), lorsqu’il s’agit de fournir discrètement la rue en argent liquide, et se trouve notamment alimentée par des dizaines de millions de dollars venus d’un certain George Soros ! Il ne s’est pas foulé pour imaginer un système compliqué.
 
C’est la même chose pour les casseurs de « Not My President » qui ont provoqué des échauffourées après l’élection et le jour de l’investiture de Trump, occupant rues et autoroutes, cassant les vitrines, blessant les policiers, allumant des incendies et jetant des cocktails Molotov. Soros ne va pas avouer qu’il les stipendie. Mais on voit que des organisations comme Black Lives Matter and MoveOn.org sont mouillées jusqu’au cou dans l’organisation des manifestations (en fait, de mini-émeutes) : or elles sont financées par Soros.
 

Soros finance Black Lives Matter et les émeutes

 
Black Lives Matter, qui est aujourd’hui l’une des associations spécialistes de l’émeute les plus efficaces, a été fondée par trois lesbiennes marxistes dont le modèle étaient les révolutionnaires communistes Angela Davis et Assata Shakur, et les Black Panther. Le Washington Times a établi par une enquête en 2015 que Soros a donné plus de trente-trois millions de dollars à Black Lives Matter et à sa nébuleuse d’associations. Il se trouve d’ailleurs battu sur ce terrain par un autre fleuron de la finance mondialiste, la Ford Foundation, qui vient de mettre cent millions dans un fonds nouveau dont Black Live Matters sera le bénéficiaire principal.
 
Pour ne pas être en reste, George Soros a décidé de donner un petit coup de pouce en plus à l’agitation anti-Trump grâce à une petite structure qu’il a fondée, la Washington Community Action Network, qui s’est payé des publicités sur le site géant de petites annonces Craiglist et dans les journaux demandant des « organisateurs à plein temps », payés 15 dollars de l’heure, plus les congés payés et l’intéressement aux bénéfices, pour « combattre l’Agenda de Trump ». Voilà qui a le mérite de la clarté.
 

Cherche organisateur de la campagne anti-Trump, temps plein

 
Black Live Matters a bénéficié des largesses de Soros dès ses premiers pas mais ce n’est qu’en 2014, à l’occasion des émeutes de Ferguson dans le Missouri, que le mouvement a pris une ampleur nationale et internationale. Deux des filiales de Black Live Matters s’y sont distinguées par leur violence (il y a eu notamment des tirs contre la police), l’Organisation de lutte noire (OBS) et les Missouriens pour la réforme et la prise de pouvoir (More). Toutes deux sont de pure obédience marxiste-léniniste, dirigées par des militants chevronnés qui organisent des émeutes depuis des décennies. Un des patrons et fondateurs d’OBS est Jamala Rogers, qui est organisateur de communauté comme Obama à ses débuts, ancien du Black Power et de la Ligue communiste révolutionnaire.
 
Soros donne aussi de l’argent à Colorlines, un site qui a beaucoup contribué à faire de l’affaire de Ferguson un show américain et mondial. Akiba Solomon, l’un de ses rédacteurs, avoue : « Plus de cinq cents d’entre nous ont voyagé de toutes les grandes villes des États-Unis pour venir soutenir les gens de Ferguson et faire d’un mouvement local un mouvement national ».
 

Soros, conscience de la planète et finance des révolutionnaires

 
La presse américaine fait état d’autres faits de ce type qui établissent solidement que la finance mondialiste et Soros en particulier financent les émeutes radicales en matière de « droits civiques », comme ils financent la propagande réchauffiste. On comprend mieux pourquoi quand on lit les livres de Soros. Dans L’alchimie de la finance, paru en 1987, il avouait qu’il lui arrivait de se prendre pour Dieu, avec aussi des envies de suicide. Depuis, il se dit guéri mais sa mégalomanie vise toujours à réformer la planète. Il se sent « la conscience du monde ». Et il ajoute : « Je n’accepte pas les règles imposées par d’autres ». En conséquence, il tend à imposer les siennes aux autres.
 
Son Open society foundation est l’instrument financier de cette réforme de l’univers. Mais il ne s’en tient pas là. Il a fondé la Democracy Alliance pour amener milliardaires et millionnaires à financer les causes qui lui sont chères. Selon un rapport de l’IMI (l’Institut des migrations international) c’est lui qui a financé le rapport Sutherland, feuille de route de l’invasion en cours de l’Europe, et qui finance aussi le CGPI (l’initiative pour une politique mondialiste de l’université de Columbia) qui abrite le secrétariat de Sutherland pour le bureau des migrations à l’ONU.
 

Quand la finance mondialiste se réunit pour abattre Trump

 
Bref, il est clair que Donald Trump est pour lui un ennemi à abattre. C’est d’ailleurs pourquoi il avait placé John Podesta, président du centre pour le progrès américain, qu’il finance, au poste de directeur de campagne d’Hillary Clinton. Aussi, pour contrer le président élu, a-t-il immédiatement organisé, entre le quinze et le dix-sept novembre dernier, une conférence d’investissement avec les têtes pensantes du parti démocrate et les donateurs de Wall Street et de Hollywood à l’hôtel Mandarin Oriental de Washington.
 
Avec les donateurs de l’Alliance pour la démocratie, ils alimentent les associations-écrans qui financent elles-mêmes les manifestations illégales contre Trump, comme la Tide foundation. Des fuites et des vidéos d’interviews diffusées par le « Project Veritas » le montrent. On y voit notamment une chargée d’affaires de l’équipe Clinton, Zulema Rodriguez organiser une marche anti-Trump à Chicago en mars 2016, marche où des policiers ont été insulté et qui a forcé Trump à annuler sa réunion. Soros et les Démocrates ont donc payé les violences dont ils ont ensuite fait grief à Trump. Cela continue tranquillement aujourd’hui, et il est à parier que cela va continuer un bout de temps.
 

Pauline Mille