Lutter contre le Califat islamique est une intention louable, encore faut-il qu’elle soit réelle. Or la politique menée par Barack Obama, que suit docilement François Hollande, prouve le contraire.
Si le président des Etats-Unis voulait réellement détruire cette menace, il commencerait par raser les champs de pétrole qu’ils ont entre les mains et qui leur rapportent chaque mois presque 100 millions de dollars.
Mais au lieu de cela, il annonce qu’il va entraîner et armer l’opposition « modérée » en Syrie, qui sera chargée de lutter contre Califat islamique et contre le régime de Bachar el Assad.
Or personne n’a jamais été capable de retrouver la trace d’une quelconque frontière entre cette opposition « modérée » et les djihadistes.
Le double jeu de la coalition dans laquelle s’embarque la France est de plus en plus clair.