Fort peu de médias pour en parler. Et pourtant, de manière visible, les Européens qui n’acceptent pas la politique de l’autruche prônée par les gouvernements pro-migrants, s’organisent pour veiller à leur propre sécurité et à celle de leur famille. Armes d’auto-défense, milices indépendantes… Un réflexe de survie pourtant bien mal vu par les médias et les forces de sécurité qui sévissent contre ce repli de soi inopportun !
A l’Etat, visiblement, de décider qui doit être protégé ou non…
Demande en hausse pour les pistolets d’alarme et autres armes d’autodéfense
C’est un fait, les ventes d’armes d’auto-défense connaissent une hausse inédite en Allemagne… Un marchand d’armes du nord de Cologne confie à un quotidien local, Rheinische Post : « Depuis le début de l’année, nous avons vendu dans notre magasin deux fois plus de sprays de défense qu’en temps normal ».
« Ce sont surtout des hommes qui viennent car ils veulent acheter les sprays pour leurs femmes ou leurs filles ».
La police locale l’a elle-même confirmé sur son compte Facebook : « A l’heure actuelle, un grand nombre de demandes de permis de port de pistolets d’alarme parviennent à la police de Cologne ». A Cologne, triste théâtre des agressions du Nouvel An, mais aussi dans d’autres régions du pays, comme en Bavière, point d’entrée de la plus grande partie des migrants dans le pays en provenance d’Autriche.
On se remet à porter secours…
La prise de conscience pointe.
Il y a trois jours, dans la gare de Westbahnhof, à Vienne, un Autrichien de 22 ans a commencé à se faire attaquer par un groupe de réfugiés afghans qui voulaient le voler. Un incident devant lequel tous les passants auraient lâchement baissé les yeux – comme on leur a appris à le faire. Mais cette fois, une foule se forme, mécaniquement, et fond sur le groupe, largement surpris…
La police, arrivée sur les lieux, put arrêter six des agresseurs, pendant que le jeune homme était emmené à l’hôpital.
Les milices d’auto-défense
Plus symbolique encore, des Allemands ont décidé de constituer des milices d’auto-défense – trois mots terribles pour le politiquement correct –, face à l’échec sécuritaire patent de leurs dirigeants.
Fondé la semaine dernière, « Dusseldorf is Watching », dont le mot d’ordre est « un pour tous et tous pour un », a rassemblé en huit jours plus de 13.000 partisans… « Kassel is Watching » organise déjà aussi des patrouilles, facilitées par le biais des applications de messagerie instantanée telles que WhatsApp ou Facebook. Les transgressions et agressions sont rapidement signalées au groupe qui peut se rendre dès lors sur les points chauds.
Il s’en est aussi formé à Francfort, Hambourg… Et des héros surgissent, tels que l’ancien soldat des forces spéciales, Ivan Jurevic, le « héros de Cologne », qui a su fermer ses poings pour défendre le sexe faible, ce soir du Nouvel An. Il a fait cette remarque, ô combien éclairante : « J’ai toujours pensé que ce genre de choses ne pouvait être qu’une propagande de droite. Mais c’était bien réel! » !
Interdit de se protéger, à Cologne et ailleurs
Mais Ivan Jurevic a été arrêté ce week-end, parce qu’il avait décidé de rejoindre une milice d’auto-défense et que la publicité aurait été trop voyante. Et toutes ces milices ont reçu de sévères messages d’avertissements de la part des forces de police.
« Protéger les citoyens relève de la seule responsabilité de l’Etat (…) L’application de la loi est à laisser aux professionnels »…
Aux professionnels de la sécurité ?! En tout état de cause, le soir du Nouvel An, comme le rappelait un banquier de Cologne qui a vu sa fille se faire peloter et plus, « il n’y avait pas un policier sur la place de la gare, pas un seul agent de la sécurité de la compagnie de chemins de fer. Il a fallu attendre une heure sur les quais pour que les forces spéciales de l’État viennent nous aider pour nous emmener à un autre bout de la gare ! »
Le parquet local a même promis 10.000 euros de récompense en échange de renseignements permettant l’arrestation des auteurs des agressions. Autant dire que non seulement, ils n’étaient pas au bon endroit, mais leur enquête n’est pas non plus efficace – ou ne veut pas l’être, qu’importe…
« N’ayez pas peur ! »… sauf de l’extrême-droite
Le vrai, l’unique danger, nous le savons bien, c’est la montée de la xénophobie ! Le journal allemand, Die Welt, se rue en titrant : « Les milices d’autodéfense, l’autre danger après Cologne »… Milices qu’il mélange sans fard – enfin un vrai usage de l’amalgame – avec les bandes de hooligans qui ont démoli dernièrement des boutiques de kebab et autres vitrines dans un quartier de Leipzig.
La réaction policière a été similaire en Finlande, face aux « Soldats d’Odin ». Le peuple n’a pas droit à la riposte – il doit subir. Sans doute ses victimes sont-elles censées nourrir l’humanisme européen… ? Le Minotaure bruxellois n’a pas fini, alors, d’en recevoir.
Et les médias continuent, envers et contre toute réalité, leur travail quotidien de manipulation. On lit partout qu’il faut craindre la récupération par l’extrême-droite. Que « la volonté d’accueillir des demandeurs d’asile est toujours aussi forte »… Qu’un nouveau camp d’accueil d’urgence doit s’ouvrir à Cologne en février…
Les médias plus libres d’Europe centrale fustigent le désespérément « politiquement correct » des Occidentaux… « Nous vous avions prévenus de ce danger ! », écrit la section en langue bulgare de la radio Deutsche Welle. « La crise migratoire a donné naissance à une sous-culture d’altruistes naïfs et bien-pensants », dénigre le quotidien slovaque Sme…
Que Bruxelles mène par le bout du nez.