Eolien : un groupe canadien veut racheter Enel France

Boralex, groupe de Montréal, en offre 280 millions, la filiale française Enel du géant italien permettant alors aux Canadiens de devenir le troisième producteur d’électricité éolienne en France.
L’idée est bien sûr de « bénéficier de la transition européenne vers l’énergie verte », comme l’assure Boralex : rien de tel que de s’appuyer sur une politique et des subventions.