L’Europe bruxelloise en guerre : la police recule partout devant les migrants

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La « crise des migrants » engendre logiquement une guerre en Europe. Alors que l’Est résiste à l’envahisseur, dans les pays sous influence bruxelloise la police recule devant des migrants de plus en plus sûrs d’eux et dominateurs. Au point que c’est aux militaires d’être attaqués.
 
En 2014, les médias dominants dans l’Europe bruxelloise ont nommé « crise des migrants », l’intrusion brutale, en sus de l’immigration habituelle, tant officielle que « clandestine », de centaines de milliers d’immigrés supplémentaires inassimilables, en majorité mâles et jeunes, par un abus manifeste de deux mots attachés à deux droits très anciens et respectables, l’asile à terre et la détresse en mer. Cet abus était conscient et organisé, afin de subvertir et d’exploiter, en vue d’une invasion planifiée par l’ONU, la compassion pour le malheureux, et le vieux devoir de solidarité humaine que souffle à chacun sa conscience.
 

Officiel : pour le HCR de l’ONU les migrants ne sont pas des réfugiés 

 
Aujourd’hui l’imposture est éventée. Le HCR, le Haut comité aux réfugiés de l’ONU, confirme ce que le téléspectateur pouvait voir sur son écran : 75 % au moins des migrants sont des hommes, d’âge compris entre vingt et quarante ans, les « mineurs », quand on parvient à leur donner un âge, ont souvent 35 ans, ils viennent de pays qui ne sont pas en guerre pour la plupart, et même dans le cas contraire, on a vu des Syriens, par exemple, retourner chez eux le temps des vacances avec l’argent du contribuable allemand. En d’autres termes, ces migrants ne sont, dans l’ensemble, pas des réfugiés, ce sont pour une part des immigrés « économiques », les autres étant des prédateurs, comme l’actualité nous le montre.
 

A Ceuta, l’attaque d’une horde de mâles en guerre

 
Les 116 migrants qui viennent d’envahir l’enclave espagnole de Ceuta étaient tous jeunes, en bonne santé, sportifs, n’ayant visiblement été brimés ni maltraités par personne. Ils ont escaladé les grilles vivement, et, pour repousser la police, lui ont jeté des excréments et de la chaux, causant pas mal de blessures. La police a reculé. Ils sont passés, faisant des V de la victoire et pour certains remerciant Allah, le grand, le miséricordieux, de la victoire qu’il leur avait donnée. On peut tourner les mots dans tous les sens, on n’empêchera pas la chose d’être un acte de guerre. Une guerre d’un genre nouveau puisqu’au lieu de planter leur drapeau en terre espagnole et européenne, ils ont brandi les drapeaux de l’Espagne et de l’Europe bruxelloise. Cela signifie plus que : nous vous vainquons. Cela signifie : nous sommes vous demain, nous vous éliminons, nous vous remplaçons.
 

Les dépouilles de l’Europe bruxelloise : argent, tueries, femmes

 
Sans doute Pedro Sanchez a-t-il renvoyé au Maroc, deux jours plus tard, ces envahisseurs victorieux (Pourquoi au Maroc ? C’est chez eux qu’il fallait renvoyer ces migrants, avec une sévère admonestation à leur gouvernement), mais le mal était fait. La police avait reculé. Comme partout en Europe bruxelloise. Et ce recul est un appel à tous les envahisseurs : vous pouvez y aller, une fois entrés vous jouirez sans entrave des grasses dépouilles de l’Europe bruxelloise, ses allocations, ses foyers d’accueil, ses répartitions administratives, ses distributions de nourriture (prévoir toutefois ses propres épices, la cuisine manque parfois de piment, à Calais par exemple), ses femmes faciles à attraper et à violer sur la voie publique.
 

La police recule devant la synergie migrants-immigrés plus anciens

 
La guerre en Europe bruxelloise est en effet fraîche et joyeuse pour ces jeunes mâles aux appétits de conquête non inhibés par le politiquement correct : tout est butin, les promeneuses de la Saint-Sylvestre à Cologne, les passants que l’on poignarde en criant – ou pas -Allahou Akbar, et bien sûr le bien d’autrui, droit d’aubaine pris sur les infidèles. De la Suède à la Sicile, les migrants ont changé l’insécurité en Europe bruxelloise, ils font une guerre de rapine, un gigantesque rezzou pour une gigantesque razzia. Et la police dans tout ça ? Eh bien, la police recule. Car, en bagarre avec les migrants, mais en synergie avec eux lorsqu’il s’agit des keufs, il y a les bandes de banlieue. La police se fait caillasser et tabasser dans les « quartiers ». Chacun a en mémoire les policiers lynchés pour la Saint-Sylvestre (encore ! C’est le patron de l’immigration turbulente) à Champigny-sur-Marne. Ou les policiers cramés dans leur voiture à Viry-Châtillon. Et l’on ne compte plus ceux qui sont tués par les terroristes, déséquilibrés et loups solitaires issus de l’immigration.
 

La police recule : la grande trouille du grand rezzou

 
Résultat, la police a peur. Devant la foule allogène et criminogène, elle recule. Ses voitures s’enfuient. Ses membres reculent en tâchant de rester groupés. Ce n’est pas propre à la France. En Italie, en Espagne, la consigne est de reculer jusqu’à l’arrivée de moyens supérieurs du type canon à eau. L’héroïsme est déconseillé. En Belgique, à Spa, un policier vient de se faire abattre pour être intervenu par une dispute. La vraie guerre arrive. Elle se fait de moins en moins au cocktail Molotov improvisé ou au couteau, plus à l’arme à feu. Récemment à Marseille, un petit rezzou s’est offert une fantasia à la Kalachnikov. 
 
De nombreuses vidéos circulant sur le net mettent en image les effets de cette terreur sur le moral des policiers, de la Grèce à la Scandinavie. Les équipes de deux ou quatre policiers en voiture sont systématiquement prises à partie. Comme l’usage de leur arme leur est interdit, les policiers se font repousser, insulter, molester par des adversaires supérieurs en nombre ou simplement en agressivité, et ne reçoivent naturellement aucune aide de la population, au contraire.
 

Terrorisme et migrants font partie d’une même guerre d’invasion

 
Il y a trois ans, Daech menaçait de pousser 500.000 migrants à envahir l’Europe. Il y en a deux, le président tchèque Milos Zeman accusait les Frères musulmans d’avoir provoqué le début de la crise des migrants. Ces informations, parues dans le Point et le Figaro, n’ont pas été démenties. Il y a une guerre dont l’Europe bruxelloise est le théâtre, une guerre d’invasion où s’articulent immigration et terrorisme. Dans cette guerre, les militaires de l’opération sentinelles sont souvent attaqués eux aussi. Leur bilan est meilleur que celui de la police. Mais, même quand ils ont le droit d’ouvrir le feu comme tout récemment à Lille, ils laissent leurs agresseurs s’enfuir sans trop de mal. Les consignes données par l’Etat sont de ne pas s’opposer aux envahisseurs. Ce qui a pour effet, visible sur toutes les vidéos, que les migrants et certains immigrés plus anciens ne considèrent pas les forces de l’ordre comme les représentants de la loi d’un pays qu’ils respectent, mais comme une bande ennemie, contre laquelle il est loisible de se battre, et qu’il est gratifiant d’humilier.
 

Europe bruxelloise : guerre civile entre orthodoxes et hérétiques

 
C’est là qu’entre en jeu la guerre civile qui enflamme l’Europe bruxelloise entre les orthodoxes, Allemagne, Benelux, Espagne, Grande-Bretagne, et les hérétiques, c’est-à-dire le groupe de Višegrad auquel s’ajoutent depuis peu l’Autriche et l’Italie. Là-bas, la police ne recule pas, ou plus, devant les migrants, et les frontières sont défendues. C’est pourquoi Macron et Philippe morigènent Salvini : il est coupable de deux choses, d’agir et d’être populaire, à l’inverse d’eux, et, à l’inverse d’eux, de s’opposer au diktat du mondialisme qui a décidé la léopardisation de l’Europe. 
 
A preuve les récentes déclarations de Josep Borell, le ministre espagnol des affaires étrangères, considérant les migrants comme le « sang neuf » de l’Europe, confirmées par celles du leader wallon André Antoine qui fait le « choix démographique » de l’immigration, et par celles du président allemand Franz-Walter Steinmeier, lui aussi favorable à la poursuite de l’immigration, qui nie l’existence « d’Allemands de souche ». Pour ces fanatiques de l’Europe bruxelloise, l’ennemi c’est Salvini, Orban, c’est Kurz, ce ne sont pas les migrants envahisseurs ni les immigrés délinquants ou criminels : et c’est pourquoi la police recule, laissant les citoyens sans défense.
 

Pauline Mille