Le Kenyan Eliud Kipchoge a raté son but de 35 secondes… Il semblerait que cela soit dû au mauvais temps : la chaleur, l’humidité et la pluie (il est vrai qu’il ne fait jamais chaud en Afrique).
On nous explique que ce sont des symptômes d’un problème qui s’aggrave à la faveur du réchauffement, touchant des villes comme Berlin qui, historiquement, a été le théâtre de plusieurs records pour la course mythique parce qu’il y fait généralement frais et couvert. Ah oui, accessoirement, le parcours de la course y est exceptionnellement plat par rapport à la moyenne…
Selon une étude savante, les quelques degrés de chaleur en plus dimanche ont ajouté 70 secondes au temps réalisé par Kipchoge. Traduisez : avec moins de CO2 et ces horribles pays riches qui oppriment les athlètes africains, il aurait atteint son but.