Le représentant du Venezuela à l’ONU dénonce le « capitalisme » comme ennemi de la « Mère Nature »

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Apparaissant comme le porte-voix de plusieurs pays (socialistes) d’Amérique latine et des Caraïbes, le ministre des affaires étrangères du Venezuela, Jorge Arreaza, a accusé la surconsommation et le consumérisme d’être la cause des conditions climatiques extrêmes dont souffrent plusieurs nations de la région alors qu’elles n’en portent pas la responsabilité.
 
A la tribune de la 72e session de l’Assemblée générale des Nations unies, il a dénoncé « la guerre des pays développés et de leur système capitaliste contre la Mère Nature » – une guerre dont des millions de personnes sont victimes « alors qu’elles ne l’ont pas choisi ».
 
« Ne changeons pas le climat, changeons le système! », a-t-il clamé, appelant à la mise au ban des nations des puissances « arrogantes » comme les Etats-Unis et à un principe de « responsabilité partagée et différenciée » par rapport à la lutte contre le réchauffement.
 
C’est précisément ce que recherchent les objectifs du développement durable (ODD) qui veulent égaliser le monde en faisant payer les riches.
Tandis que le Venezuela appauvrit et réduit sa population à la misère au nom du socialisme…